Plouf
Passionné impliqué
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 Posté le:
24 Mai 2008, 18:52 |
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| Citation: | Un des épisodes de sa série fétiche défile devant ses pupilles quand le bruit pour lequel il s’est fait incorporer se fait entendre. Il ne verra pas la fin et c’est tant mieux, il la connaît déjà, c’est toujours le même scénario qu’il arrive à dénouer à chaque épisode. Mais il continue de les regarder, c’est une habitude comme on en a tous. Ce soir, donc, il ne verra pas sa prédiction se confirmer, car il va se jouer un autre film, mais en direct celui-là et il en sera l’un des acteurs principaux. Non, ne vous imaginez pas de suite qu’il va sauver au péril de sa vie un nourrisson bloqué dans un appartement en flammes et que, quand il sortira du brasier, tout de noir recouvert, la foule amassée devant l’évènement s’enflammera à son tour d’un tonnerre d’applaudissements. Non, mais sachez qu’il sera aussi un héros, à sa manière. Un héros du quotidien et pas hollywoodien.
Ça y est, il est prêt, non pas maquillé comme un acteur l’est juste avant une prise, mais vêtu de sa tenue de pompier. Il ne connaît pas encore le dialogue ni même le résumé de l’intervention, il attend qu’on le lui souffle. Il n’obtiendra que ces simples mots : « Malaise à domicile ». Il arrive donc au domicile d’un des protagonistes, ou, plus précisément d’une des interprètes. Accueilli par une mauvaise actrice, la fille de la victime, il se laisse guider avec ses collègues sur le lieu de la scène principale. C’est une petite chambre toute sombre. Au sol, une petite vieille dame. Les effets spéciaux laissent place à un délabrement réel. Elle vit dans son petit appartement toute seule, sa fille est juste venue à la demande de la concierge, qui s‘inquétait de ne plus la voir sortir. Quand elle est rentrée elle l’a trouvé comme ça, par terre. Plutôt que de la toucher, elle a préféré appeler le 18, au moins comme ça elle pourra plus vite retourner à sa vraie vie, loin de celle qui l’a mise au monde.
Notre personnage principal, aidé de ses collègues, prend donc en charge cette petite dame, épuisée, déshydratée, mais surtout seule. Sous les regards désintéressés de la mauvaise actrice, il fait en sorte que le peu de pudeur qu’il lui reste soit préservée, lui adresse des sourires sincères, agit comme un professionnel, lui montrant ainsi qu’elle est humaine à ses yeux. Il panse ces plaies à l’âme en lui témoignant sa bienveillance et son respect, tout en restant distant, il ne faut pas trop s’attacher dans son métier. Il est impossible de refaire la scène, pas de « on reprend » ou de « coupé » et ça, notre héros du quotidien le sait… |
Je vais le reprendre dès que j'aurais du temps, en attendant critiquez  j'attend que ça pour améliorer !!! |
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Plouf ne se mouille pas, c'est l'eau qui se Plouf |
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Francis RAOUT
Nouvelle recrue
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| Posté le:
25 Mai 2008, 09:13 |
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Pourquoi critiquer cet essai?
Moi, je l'aime beaucoup, tu sais.
Rendre service est notre but,
Non, non, rien ne nous rebute.
Petits, grands exploits, c'est pareil,
Oui, soyons rayons de soleil.
Francis RAOUT |
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F.R. |
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