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Message |
zack
Nouvelle recrue
Sexe: 
Inscrit le: 08 Fév 2014
Messages: 33
Localisation: Meuse
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 Posté le:
25 Mai 2015, 16:49 |
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Bonjour à tous,
M'étant retrouvé dans une situation délicate hier et étant au début de ma carrière de SPV , je me demandé comment faîtes vous fasses à la violence d'une victime ( sobre ou alcoolisée ) ? Si elle frappe je frappe ? si elle hausse le ton je hausse le ton ?
Merci d'avance pour vos réponse
Cordialement. |
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Sapeur 2ème classe,Meuse (55) |
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Proton
Modérateur
Sexe:
Inscrit le: 06 Déc 2005
Messages: 9947
Localisation: csp-cavaillon.com (84)
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| Posté le:
25 Mai 2015, 18:32 |
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Salut.
C'est tout le contraire qu'il faut faire...
Ne jamais lever la main sur une victime quelle qu'elle soit et quoi qu'elle fasse et ne jamais monter le ton car c'est justement ce genre d'attitude qui entraîne la violence.
Tout l'art de notre boulot est dans la conviction et dans la maîtrise non-violente, quoi qu'en pense certains...
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Raphael3OOOO
Fidèle
Sexe:
Inscrit le: 15 Jan 2009
Messages: 210
Localisation: Nimes
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| Posté le:
25 Mai 2015, 20:35 |
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Oui après il peut arriver de caler un hippon sur le bitume suivi d'un genou bouche mais c'est dans les cas exceptionnel, en général il ne faut surtout pas répondre a la violence. |
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kraygoon
Nouvelle recrue
Sexe:
Inscrit le: 24 Fév 2014
Messages: 27
Localisation: Pau
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| Posté le:
27 Mai 2015, 09:38 |
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Salut,
Confronté de temps en temps à ces cas de figure, notamment lors de la tenue de postes de secours avec la Protection Civile, j'ai appris les choses suivantes :
- Toujours garder une distance de courtoisie lors de l'approche d'une personne agitée ou susceptible d'être violente. La distance d'une bras tendu est une distance de départ généralement acceptée.
- Se présenter (« je m'appelle Michel et je suis pompier/secouriste/etc. » et motiver son intervention (« je suis là pour vous aider », « je suis inquiet pour vous », etc.) et éviter que toute l'équipe parle en même temps.
- Privilégier un interlocuteur unique au sein de l'équipe.
- Garder autant que possible le vouvoiement dans les échanges mais si possible en intégrant l'usage du prénom de la victime pour engager le dialogue.
- Dans l'approche « physique » de la victime, toujours lui laisser un échappatoire. C'est-à-dire qu'il ne faut pas faire front avec l'équipe VSAV et acculer la victime contre un mur, un angle de pièce ou autres situations qui pourraient être vécues par la victime comme une agression.
- Toujours tenter d'expliquer à la victime qu'il vaut mieux que ce soit les pompiers/secouristes qui la prennent en charge que la Police/Gendarmerie.
- Expliquer pourquoi les pompiers/secouristes sont là et ce que vous comptez faire de lui/elle (« On vient pour s'assurer que vous allez bien, on va soigner vos blessures dans l'ambulance »).
Généralement le dialogue arrive à s'instaurer la plupart du temps. Si au bout de quelques minutes la situation ne se débloque pas il convient de laisser la place aux forces de l'ordre. L'image des pompiers/secouristes doit rester celle du secours à personnes. |
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Gueuledange
Nouvelle recrue
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Inscrit le: 01 Aoû 2014
Messages: 16
Localisation: 39
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| Posté le:
30 Mai 2015, 07:37 |
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Salut,
excellente approche de ta part, une attitude exemplaire dans ce genre de situation 
La seule toute petite précision que j'apporterais concèrne la distance d'un bras. Ceci était vrai il y a encore peu de temps mais maintenant, je sais que l'on parle d'une jambe. J'ai travaillé dans la sécurité privée et cette distance à 2 raisons. Ne pas entrer dans la zone de courtoisie et ne pas braquer la victime et la deuxième raison et pour la sécurité du secouriste. En effet, les agressions sont de plus en plus violente. |
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zack
Nouvelle recrue
Sexe:
Inscrit le: 08 Fév 2014
Messages: 33
Localisation: Meuse
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| Posté le:
29 Juil 2015, 16:12 |
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