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Posté le: 27 Mar 2007, 14:41

pl.lamballais a écrit:

Si tu considère que le phénoméne met du temps à se déclencher, alors tu as le temps d'ouvrir, de reprendre ta lance, d'arroser puis fermer. Mais dans ce cas tu as laissé ouvert longtemps donc tu as fait un apport d'air important.

Tu parles ici des portes intérieures, qu'on peut ouvrir et fermer avec la clenche?

Et en cas de porte extérieure, fermée?
On l'ouvre de force, mais on ne peut plus la refermer de manière assez étanche?

Que doivent faire le chef et l'équipier, chacun de leur côté, s'ils ne peuvent la refermer complètement?

Il n'a plus d'autre choix que de progresser, en faisant des tests au plafond régulièrement?

Posté le: 27 Mar 2007, 14:58

brembored a écrit:

Et en cas de porte extérieure, fermée?
On l'ouvre de force, mais on ne peut plus la refermer de manière assez étanche?

Que doivent faire le chef et l'équipier, chacun de leur côté, s'ils ne peuvent la refermer complètement?

Il n'a plus d'autre choix que de progresser, en faisant des tests au plafond régulièrement?

Pas vraiment. Il faut toujours voir "le mieux": quand tu ouvres une porte fermée à clef, tu peux effectivement l'ouvrir avec un buldozer en arrachant la moitié du mur. Là, pour refermer, ça va être dur. Mais avec un pied de biche ou un JOG, ou même une masse si tu tapes pas n'importe ou, la porte peut être refermée.
Même s'il reste 2cm d'ouverture, ce n'est pas génant.

C'est un peu comme la progression avec anti-ventilation: on entre et on referme la porte derrière soit. La réponse qui est souvent fait c'est "oui, mais y'a le tuyau". C'est exact, mais ça on y peut rien: donc on ferme la porte le mieux possible et c'est toujours mieux que d'ouvrir en grand.

Pierre-Louis